Comment mieux accompagner les personnes allophones dans leur montée en compétences numériques ?
Les personnes allophones ou en situation d’illettrisme voient leurs difficultés d’usage du numérique renforcées. Les risques de rupture d’accès au numérique, et à leurs droits, sont prégnants pour ces personnes. L’atelier permet de partager les pratiques, retours d’expérience, tracer des pistes de coopération et de mettre en commun des ressources existantes sur notre territoire.
• Animé par Véronique IRATÇABAL de l’association Atelier Graphite
Compte-rendu de l’atelier
Quelques mots sur la problématique abordée :
Les personnes allophones ou en situation d’illettrisme voient leurs difficultés d’usages du numérique renforcées. Il faut d’abord bien définir les publics pour mieux appréhender l’accompagnement numérique. Réfléchir et se confronter à ses propres représentations permet de s’ouvrir.
Les élément à retenir de l’atelier :
L’accompagnement numérique des publics éloignés du français (allophones et personnes en situation d’illettrisme) demande de nombreuses compétences humaines et techniques. L’analyse et la réflexion ne peuvent être dissociées de l’empathie. Mettre en place des ateliers exige de suivre des étapes indispensables : recueil et synthèse des besoins, identification des freins : anticiper ce qui risque de bloquer pour y apporter des solutions. Ces étapes préalables sont essentielles pour adapter le contenu aux besoins des bénéficiaires.
Verbatim :
« Notre rôle consiste à remettre de l’humain dans le numérique ».